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PLACE AUX ARTISTES !

Septembre 2021 I Le Printemps a convié des artistes à interpréter la circularité du sol au plafond.

Pour célébrer son renouveau, Le Printemps a donné la parole à des artistes chargés, par leurs œuvres, de représenter le symbole de l'infini et les liens qui se tissent autour du thème généreux et universel de la circularité.

Scénographie en suspension par l'atelier LAPS

Derrière les quatre lettres de LAPS, les initiales d'Amélie Lengrand et de Sophie Paumelle, nées en 1980 et 1976. Les vitrines du rez-de-chaussée, l'atrium, les étages : leurs créations fluides et spectaculaires, en bois, représentent et déclinent le symbole de l'infini, tout en interprétant le sens du label "Unis vers le beau responsable". Elles guident le visiteur jusqu'au 7ème étage où une myriade de rubans, réalisés à partir de matériaux recyclables, prend son envol sous la Coupole Binet.
Le duo d'artistes, réunies depuis 2007, travaille à partir de matériaux bruts - bois, papier, tissu - afin de créer des œuvres en volume : créatures aquatiques, chimères, animaux sauvages, sculptures et autres décors.

Trio de lignes du street artist, Jordane Saget

Le street artist, inspiré par la philosophie chinoise et le Taï Chi, se reconnaît à un trio de lignes qui se courbent et s'entrecroisent, motif récurrent dont il associe le sens à l'idée de flux, d'énergie et de connexion. Pour Le Printemps, il a spécifiquement conçu le design du tapis habillant le sol de la Coupole Binet : des arabesques qui s'entremêlent et se complètent, une belle métaphore de la Circularité évoquant les passerelles entre les hommes et leur environnement.
Depuis 2015, Jordane Saget, né en 1980, sillonne les rues de Paris pour réaliser des dessins à la craie ou au pinceau, créant ainsi près de 2 000 œuvres au style visuel unique.

Le Dôme, envolée d'oiseaux imaginée par le designer belge, Charles Kaisin

Pour illustrer le thème de la Circularité, c'est le Pont d'Argent, espace occupé par Second Printemps, qui abrite Le Dôme, l'œuvre qu'il a imaginée : une installation de 12 000 origamis en forme d'oiseaux, tous pliés à la main.
Diplômé du Royal College of Art de Londres en 2001, le designer belge Charles Kaisin s'est distingué à travers divers projets d'aménagement intérieur, de conception de produits ou d'architecture. Transformant notamment des bouteilles vides en verres de table, le hublot d'une machine à laver en saladier, du papier journal en mobilier, il porte un regard différent sur la vie et la mort des objets.

Interprétation de l'infini signée du street artist, Romain Froquet

La ligne est un élément majeur du langage pictural de Romain Froquet, street artist né en 1982, réputé pour ses fresques urbaines. Au Printemps, il revisite le signe de l'infini sur les sols, ainsi que sur un tapis monumental ornant le Pont d'Argent.
Représentation plastique du flux et des échanges, elle symbolise le cheminement, la frontière ou le lien qui unit les hommes, les générations et les cultures. Aussi à l'aise devant un chevalet que dans la rue où il habille les murs de représentations colorées, pratiquant l'encre de chine sur papier ou expérimentant la matière en atelier, il oscille entre figuration et abstraction.

SEPTEMBRE 2021, LE PRINTEMPS PREND UN TOURNANT VERS L'ÉCONOMIE CIRCULAIRE.

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EN CRÉANT SON LABEL "UNIS VERS LE BEAU RESPONSABLE", LE PRINTEMPS PERMET AUX MARQUES QUI ONT INITIÉ UNE DÉMARCHE RESPONSABLE D'ÉVALUER LEUR PROFIL ET L'IMPACT DE LEURS INITIATIVES EN MATIÈRE DE DURABILITÉ.